Firefox 3 béta 4 écrase Internet Explorer 7

Logo FirefoxJe viens de télécharger la béta 4 de Firefox 3, et je dois dire que je suis impressionné. En effet, bien que Firefox soit mon navigateur de choix, il faut bien reconnaître qu’il avait de réels problèmes à gérer la mémoire, surtout sous Windows. Se retrouver avec près de 230 Mo de RAM consommée avec quelques onglets ouverts (dont netvibes, quand même), ce n’était pas pour accélérer un poste déjà bien chargé. Avec la béta 4, tout change : je suis actuellement à environ 70 Mo de RAM pour à peu près la même quantité d’onglets ouverts.

De plus, la réactivité de la béta 4 est nettement améliorée ; des tests conduits par la rédaction de ZDNet montrent que le nouveau navigateur de Mozilla est près de cinq fois plus rapide que la version 2 de Firefox, et neuf fois plus rapide qu’Internet Explorer 7.

La guerre des navigateurs n’est cependant pas près d’être terminée, avec l’annonce par Microsoft de la version 8 d’Internet Explorer.

A suivre…

Google Talk sur votre site

Avez-vous remarqué le bloc en haut à droite de cette page, qui dit « Chat avec Emmanuel Netter » ? C’est une nouvelle fonctionnalité de Google Talk, le service de messagerie instantanée de Google.

Si vous êtes déjà utilisateur de Google Talk, il vous suffit de vous rendre sur cette page :

Créer un nouveau “badge”

En recopiant le code du bas de la page sur votre site, vous obtiendrez un lien permettant de déclencher une session de discussion instantanée. Le gros avantage, c’est que votre interlocuteur n’a pas besoin d’être client de Google Talk. C’est une page Web qui va s’ouvrir pour lui afficher l’interface de conversation.

Cerise sur le gâteau, le lien fourni par Google est intelligent, et reflète votre statut dans Google Talk. Si vous n’êtes pas en ligne, il ne sera pas possible de lancer le gadget de conversation.

On attend avec impatience la version localisée de ce service !

WordPress pour Mobile en français

J’avais sous-titré ce blog collaboration : patrimoine : mobilité, et force est de constater que la mobilité (comme le patrimoine) n’était pas à l’honneur. En particulier, la consultation de cplusn.com au travers d’un navigateur mobile était très peu satisfaisante, vu les limitations des navigateurs sur ces plate-formes, et le faible débit obtenu, même en 3G.

Je me suis donc mis en chasse d’un plugin pour WordPress qui reformatterait les pages de mon blog pour les mobiles. Résultat des courses, deux plugins semblent tenir le haut du pavé :

Mon choix s’est arrêté sur le second, simplement parce qu’il est très léger ; un seul fichier PHP à glisser dans le répertoire plugins de WordPress. Il tient parfaitement ses promesses, en particulier en autorisant la publication de nouveaux billets ou de commentaires directement depuis son mobile.

Comme souvent, ces outils sont livrés en version anglaise. J’ai pris mon courage à deux mains, et ai modifié le source pour offrir la version française du plugin WordPress Mobile. La traduction porte aussi bien sur la partie administration que sur la partie publique du blog.

Télécharger WordPress Mobile 1.2 version française (1.0)

Des infrastructures partagées pour des applications partagées

Dans un article publié sur GigaOM, Greg Olsen (fondateur de coghead.com) pose une question intéressante : les fournisseurs d’applications hébergées (comme Salesforce.com par exemple) peuvent-ils survivre en bâtissant eux-mêmes leur infrastructure ?

Photo Ronnie Garcia (http://www.flickr.com/photos/ronniegarcia/)

Photo Ronnie Garcia

Traditionnellement, quand un acteur internet important met à disposition d’un large public une application web, il s’applique à créer de toute pièces une infrastructure informatique pour accueillir cette dernière : serveurs, baies de stockage, pare-feux, routeur et switchs, etc… Tout cela pour garantir la disponibilité et la tenue en charge de son application.

Aujourd’hui, des acteurs comme Amazon, avec ses services EC2 et S3, proposent d’appliquer à l’infrastructure les mêmes recettes que celles qui fondent le modèle économique des offreurs d’applications hébergées : un concept « Ã  la demande ».

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Gérez les versions de votre code avec Google Code

Je cherchais pour mes développements Rails une solution simple pour sauvegarder les différentes versions de mon code. En premier lieu, j’avais fait le choix d’installer sur ma machine Ubuntu un serveur Subversion, mais elle n’est pas en ligne en permanence, or j’ai besoin de pouvoir faire ces sauvegardes à distance quand je suis sur la route.

En explorant les diverses solutions d’hébergement disponible sur Internet, je suis tombé sur l’offre de Google, Google Code. Cette solution est presque parfaite, si vous souhaitez partager votre code avec la communauté; en effet, le code stocké doit l’être sous une licence open source.

Google Code

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